Les Apuniens en Amérique Centrale !
Les
Apuniens (ou tout simplement Apus) sont une ancienne race d’êtres
originaires d’une lointaine constellation.
Leurs ancêtres avaient jadis
visité la Terre et s’étaient installés il y a des milliers d’années
dans plusieurs régions qui se situent aujourd’hui au Pérou, au Chili,
au Mexique, et aussi en Chine.
Ce sont eux qui sont à l’origine des
géoglyphes de Nazca et des ruines comme celles de Cuzco et du Machu
Picchu.
Leurs OVNI ont la forme de soucoupes classiques mais aussi
parfois d’étranges engins équipés d’ailes repliables.
Leur nom vient de
leur planète d’origine : "Apu".
Mais ils ont également habité jadis une
autre planète appelée "Itibi-Ra" et qui appartient probablement au
système d’Andromède.
Leurs
ancêtres ne sont restés sur la Terre que durant une très courte
période de quelques dizaines d’années.
Ils furent ensuite contraints de
repartir en raison d'une maladie respiratoire qu’ils avaient
contractée sur notre planète et qui était provoquée par le manque
d'oxygène dans notre atmosphère.
À une époque plus récente, leurs
descendants, ayant réussi à surmonter ces contraintes
environnementales, sont revenus sur la Terre pour y étudier les
vestiges de leurs colonies ancestrales, et sans doute aussi pour
d’autres raisons qui demeurent pour le moment partiellement
mystérieuses.
Certains se trouvent actuellement parmi nous, au même
titre que les Vénusiens de la Terre Creuse dont il a déjà été question
dans d’autres articles.
Personne
ne peut dire avec certitude depuis combien de temps ils sont de retour
ici : selon certains, depuis quelques dizaines d’années, mais selon
d’autres sources : depuis déjà plusieurs milliers d’années. Ils vivent
dans un lieu secret quelque part dans les hautes montagnes du Pérou.
Mais contrairement à la plupart des extraterrestres visitant la Terre,
ils ont tendance à se montrer plus facilement aux humains et même à se
manifester au grand jour pour guérir des malades. Cette proximité avec
la population est bien sûr très relative, mais elle est réelle. Il leur
arrive également de secourir des animaux en danger. Au Pérou, "Apu" est
un mot qui signifie "Dieu" ou plus exactement "Divinité de la
Montagne". Les Indiens du Pérou pensent que leur colonie actuelle se
trouve sous les hautes montagnes de Hua-Marcu.
Les hautes montagnes de Hua-Marcu près de Caraz
Un
couple de célèbres ufologues américains de l'Arizona, Jerry et Kathy
Wills, qui visitent fréquemment le Pérou, ont réussi il y a quelques
années à rentrer en contact avec des Apuniens au cours d’une expédition
sur le Plateau de Marca Wasi près de la ville de San Pedro de Costa.
Les Apuniens les ont emmenés à bord d’un vaisseau et leur ont montré
certains vestiges de leur ancienne civilisation qui n’ont pas encore été
découverts. L’hypothèse de Jerry Wills est qu’ils viennent de la
constellation des Pléiades et qu’ils ont une base au Pérou, sous la
Terre. Plusieurs groupes de touristes ayant visité l'Île du Soleil sur
le lac Titicaca déclarent également avoir rencontré des Apuniens, et les
Indiens Quechua de cette région ont, semble-t-il, des contacts
réguliers avec eux.
Jerry et Kathy Wills
Il
existe un chaman du nom de Cucho qui affirme être en mesure d’amener
les étrangers jusqu’à l’entrée d’une grotte où ils pourront rencontrer
des Apuniens. S’ils sont malades et expriment clairement leur volonté
d’être guéris, les Apuniens peuvent les y aider. Ils peuvent même
transmettre à certaines personnes une forme d’immortalité, comme cela
s’est, semble-t-il, produit avec une européenne du nom d’Ivanka, qui,
selon Cucho, vivrait avec eux depuis plus d’un siècle et aurait conservé
l’apparence d’une jeune-femme d’une vingtaine d’années.
L’écrivain
Anton Ponce de Leon Paiva, qui est connu au Pérou pour y avoir créé un
grand centre d’accueil, où sont logés, nourris et soignés les
vieillards indigents et les enfants abandonnés de la région, est
également entré en contact avec les Apuniens au milieu des années 1970.
Il a ensuite fondé un nouveau centre appelé "Samana Wasi" où il
dispense un enseignement basé sur leur sagesse. Des Apuniens ont aussi
été aperçus près de la montagne du Machu Pichu, ainsi qu’au Mexique, à
Huajutla et Chiatipan, dans l'État d'Hidalgo. Dans tous les cas,
lorsqu’ils se présentent, ils semblent venir de l’intérieur de la
Terre.
Anton Ponce de Leon Paiva
De
nombreux ufologues considèrent la présence des Apuniens au Pérou comme
un mythe. Les témoignages pourtant se multiplient depuis quelques
années. Le premier scientifique à avoir confirmé leur existence et leur
présence dans les montagnes du Pérou est un ingénieur péruvien
d’origine yougoslave nommé Vlado Kapetanovic, mais plus connu sous son
pseudonyme de Vitco Novi.
Victo Novi (Vlado)
Né
en 1918, c’est aujourd’hui un homme âgé mais qui n’a rien perdu de sa
vivacité d’esprit. Son contact est chaleureux et il s’est toujours
montré d’une extrême gentillesse envers tous ceux qui l’ont rencontré.
Il affirme avoir eu, depuis le milieu de l’année 1960, des centaines
d’heures d’entretiens avec des Apuniens.
Voici une partie de l'interview au cours de laquelle il raconte comment se sont déroulés ses premiers contacts.
Question : Qui sont-ils, Vlado?
- Victo Novi : Ce sont des personnes qui vivent sur une planète qu'ils appellent Apu,
qui ne fait pas partie de notre galaxie et qui est distante de la Terre de plusieurs millions d'années-lumière.
- Question : À quoi ressemblent-ils ?
- Victo Novi : Ils nous ressemblent, mais ils sont physiquement mieux proportionnés.
Ils décident eux-mêmes de la taille qu’ils souhaitent avoir ;
certains mesurent plus de deux mètres et d’autres moins d’un mètre cinquante.
- Question : Quand vos contacts ont-ils commencé ?
- Victo Novi :
C’était en 1960 ; je travaillais à la centrale hydroélectrique de
Huallanca à Ancash, au Pérou en tant que technicien responsable de la
production d’électricité. Une nuit, alors que j’étais de garde –
c’était le 10 mars – l’éclairage s'est éteint sans raison apparente. Je
suis sorti pour mettre en route le groupe électrogène. Mais à
l’extérieur il y avait une lumière telle qu’on se serait cru en plein
jour. Elle provenait d'une sorte de soucoupe posée sur l’étroite bande
de terre qui séparait les deux rivières alimentant la centrale. Quiroz,
le responsable de la sécurité m’a demandé de ne pas m’approcher.
« Il faut les laisser faire, m’a-t-il dit ; ce sont des êtres qui font beaucoup de bien dans les villages :
ils guérissent les gens, font pleuvoir et viennent en aide aux plus démunis. »
J’étais
persuadé qu’ils faisaient partie de l'armée, car pour atteindre
l’endroit où ils se trouvaient, il était nécessaire de franchir un
enchevêtrement de lignes et de câbles électriques sous très haute
tension. Je demandai néanmoins à Quiroz qui ils étaient et d'où ils
venaient.
À ma grande surprise, il me répondit : « Ce sont nos amis de la planète Apu. »
Pensant qu'il était ivre, je lui ai ordonné de me laisser passer, et je me suis avancé à leur rencontre.
En
m’approchant, j'ai découvert que le lumière venait d'un objet ovoïde,
semblable à une grosse lentille, qui ne reposait pas directement sur la
terre ferme mais semblait suspendu dans le vide à quelques centimètres
du sol. Malgré son intensité, la lumière n’éblouissait pas. Elle était
agréable et presque apaisante. En arrivant à proximité de l’objet,
j'ai vu deux personnes qui avaient l’apparence d’êtres humains de race
blanche. Ils étaient jeunes et souriants et portaient d’étranges
tenues.
Ils
m'ont alors salué dans ma langue originelle : le serbe, ce qui m’a
surpris mais pas convaincu de leur origine extraterrestre, car, après
tout, de nombreux hommes et femmes sont capables de s’exprimer dans une
autre langue que leur langue maternelle.
Je
leur ai demandé pourquoi ils avaient provoqué une panne électrique
dans la centrale, et c’est leur réponse qui m’a stupéfié.
Ils m’ont
simplement dit : « Mon ami, nous sommes venus ici depuis l'espace, et quand
nous passons par cette galaxie, nous visitons la Terre,
fraternellement. Nous ne sommes pas venus sur la Terre pour nuire à
quiconque, mais pour aider nos frères terrestres, car nous ne vivons que
pour aider les autres ! » Pendant qu’ils me parlaient, j'ai
observé leur machine et j'ai vu qu'elle reposait sur trois énormes
faisceaux de lumière.
Puis ils sont remontés à bord par une sorte
d’escalier qui rejoignait la partie supérieure.
L’escalier s’est ensuite
rétracté en même temps que les faisceaux de lumière.
Leur engin s’est
alors silencieusement élevé à la verticale
et a disparu de ma vue en une fraction de seconde.
Je suis resté immobile durant de longues minutes, comme frappé de stupeur, et puis j’ai fait demi-tour vers la centrale.
À l’entrée, j’ai recroisé Quiroz.
« Écoutez, Quiroz, lui ai-je demandé, s'il vous plaît, pouvez-vous m’expliquer ? Qui a atterri là ?
Que sont-ils venus faire ici ?
Pensez-vous qu’ils puissent nous attirer des ennuis ? »
- « Non, ne craignez rien, m’a-t-il répondu, ils viennent d'un autre
monde très lointain et ce sont des gens très bons. Ils se rendent
souvent sur les hauteurs où les bergers amènent leurs troupeaux.
Ils viennent pour les aider. »
Les explications de Quiroz n’ont fait qu’ajouter à ma confusion.
J’essayais de me persuader que nous avions tous les deux été victimes d’hallucinations, et que des chercheurs travaillant pour l’armée nous avaient sans doute hypnotisés pour nous utiliser comme des cobayes.
Mais au fond de moi, je savais bien qu’il y avait une autre explication…
- Question : Comment s’est déroulé votre deuxième contact ?
- Victo Novi :
C’était un mois plus tard, le 12 Avril 1960. Le jour venait de se
lever. Le ciel était dégagé et le Soleil commençait à illuminer
l’horizon. Les hauts sommets des montagnes d'Ancash, pour la plupart
inconnus et inexplorés par l'homme, reflétaient ses doux rayons sur les
cimes immaculées.
Ce
délicieux début de matinée annonçait une journée tout à fait
appropriée pour ma randonnée hebdomadaire à travers les coteaux
environnants.
Je
décidai de me rendre chez un jeune-homme nommé Adrian Perez, qui
appartenait à l’équipe d’entretien de la centrale et qui connaissait
toutes les routes de montagne.
Et je lui proposai de m’accompagner.
Il
accepta et nous nous mîmes aussitôt en route. Nous avions marché
presque toute la matinée, lorsque nous atteignîmes un plateau isolé,
situé à plus de 4.000 mètres d’altitude.
Les
roches et les rochers abondent dans ce lieu, si bien que nous étions
obligés de zigzaguer pour pouvoir laisser des empreintes de notre
passage et être en mesure de revenir par le même itinéraire sans se
perdre.
Soudain
Adrian s’immobilisa et me désigna de la main une petite zone de plat
sans rochers distante d’environ trois cents mètres et sur laquelle
reposait un engin identique à celui que j'avais vu le mois précédent à
Huallanca en face de la centrale hydroélectrique.
La
soucoupe était entourée par un troupeau de chèvres et quelques
moutons. Et sur le côté il y avait une petite clairière avec plusieurs
personnes : hommes femmes et enfants. C’étaient des bergers avec leurs
familles. Je me demandai comment ils réussissaient à survivre dans un
endroit aussi isolé tout près des neiges éternelles.
Perez m’indiqua
qu’il s’agissait d’un endroit particulier, parce que des disques volants
pilotés par des extraterrestres avaient l’habitude de s’y rendre
régulièrement.
Il ajouta que c’étaient de bonnes personnes qui avaient bien souvent aidé les bergers.
J’ai
comparé les explications de Perez avec celles que m’avait données
Quiroz le mois précédent et j’en ai déduit que les gens de cette région
devaient être bien naïfs pour en arriver à gober de telles fadaises.
Pour
moi, les choses étaient simples : ils étaient à leur insu complices
des agissements de militaires qui s’entraînaient sur eux à mettre au
point un nouveau programme d’hypnose collective.
J’acceptai cependant la proposition de Perez de les rejoindre.
Quelques
minutes plus tard nous sommes arrivés à leur hauteur où ils avaient
construit une petite cabane. Il y avait quatre hommes assis devant un
feu, avec trois femmes et quatre enfants. À côté d’eux se tenaient les
deux personnages étranges que j'avais rencontrés trois semaines
auparavant à côté de la centrale hydroélectrique. Les étrangers
sourirent en nous voyant, mais les bergers semblaient dérangés par notre
présence. L'un d’eux se leva pour venir à notre rencontre et nous
demanda sur un ton un peu cassant ce que nous venions faire en cet
endroit reculé.
Je lui ai dit que nous chassions le puma.
Mais
j’ai senti qu’il ne me croyait pas. L'un des deux extraterrestres nous
salua alors de la main en nous souriant et nous fit signe de nous
asseoir à côté des bergers, ce qui sembla calmer celui
qui s’était montré agressif.
Nous nous sommes donc assis là, face au feu.
L’attitude
menaçante du berger qui m'avait posé la question et le regard
suspicieux de ses compagnons confirmèrent mes pensées antérieures :
d'une certaine façon, les habitants de la région étaient de mèche avec
ces étrangers, et pour cette raison ils craignaient que des intrus
découvrent une sorte de complot ou de conspiration à laquelle ils devaient certainement être mêlés.
Comme
il faisait encore jour, j'eus le temps de bien observer les deux
"étrangers" : ils étaient grands, sveltes et plutôt beaux.
Rien ne
permettait a priori de les distinguer de n’importe quel être humain
vivant sur notre planète, si ce n’est que l’on aurait pu croire qu’ils
appartenaient à une race provenant du mélange de l’ensemble de toutes
les races actuellement présentes sur la Terre.
La forme de leurs visages
ressemblait à celle des Arabes, leurs yeux étaient bleus mais
légèrement bridés comme ceux de la race mongole, leur nez et leur bouche
ressemblaient à ceux des pays nordiques; leur barbe et leur chevelure
leur donnaient le type hindou, la musculature de leur corps évoquait
celle des Africains, et la couleur de leur peau était d'un rose très
pâle, comme celle des races d’origine celtique.
Celui
des deux extraterrestres qui nous avait souhaité la bienvenue sourit
de nouveau. Par son sourire, je compris qu’il avait lu dans mes pensées
mais que mes réticences à leur égard ne lui causaient aucune peine.
Comme la fois précédente, il prit la parole dans ma langue maternelle et
me dit :
« Nous savons que vous n’acceptez pas d’envisager la possibilité que nous venions d’une autre planète.
Ce comportement envers nous est naturel, car vos cellules sont programmées pour nous rejeter.
Mais nous vous serions reconnaissants de rester quelques minutes avec
nous et de bien observer ce que nous souhaiterions vous montrer. Vous
n’avez aucune raison d’avoir peur, puisque vous êtes armé, alors que nous ne le sommes pas. »
Pendant
qu’il me parlait, j’observai que sa tenue était une combinaison qui
comportait une sorte de cagoule fine et presque transparente enserrant
le visage, ainsi que deux renflements qui faisaient office de chaussures
au niveau des pieds. La taille, les chevilles et les poignets de la
combinaison étaient équipées de petites poches sans ouvertures. Une
plastron brillant recouvrait la poitrine.
Il comportait 15 boutons disposés suivant 3 lignes de 5 boutons chacune.
Il ajouta : « Ces tenues nous permettent de nous déplacer dans l’espace sans utiliser de vaisseau. Je vais vous montrer. »
Il
s’est alors levé ; puis il a effleuré du doigt deux des boutons qui
ornaient son plastron. Sa combinaison s’est alors mise à gonfler à
l’emplacement des poches, et il s’est instantanément envolé à la
verticale !
Il a fait un petit tour dans les airs, et parcouru plusieurs centaines de mètres comme un oiseau, puis il est revenu !
J’étais
complètement abasourdi. J’essayai de m’auto-persuader que j’avais moi
aussi été hypnotisé, mais je savais au fond de moi que ce que je venais
de voir était bien réel. « Comment faites-vous ? » lui ai-je alors
demandé. Il sourit et me répondit : « Ces petites poches que j'ai aux
poignets, aux chevilles et autour de ma ceinture sont chargées d’ions
positifs. Dès que le système est enclenché, nous pouvons moduler le
champ gravitationnel à notre convenance. Cela nous permet d’atteindre
exactement la vitesse souhaitée et nous donne la possibilité de voler en
nous déplaçant à l’horizontale, à la verticale ou en zig-zag.
Sur Apu, la planète dont nous sommes originaires, nous nous déplaçons depuis des millions d’années grâce à ce procédé. »
Il se tut un moment, puis ajouta : « Apu est située à la périphérie de la Voie Lactée.
Nous sommes les protecteurs de la vie des habitants de cette galaxie.
Nous voyageons à travers l’espace pour aider les êtres que nous rencontrons.
Nous ne sommes pas ici pour tenter de vous impressionner.
Nous voulons simplement vous apprendre à nous connaître. »
Il continua sa narration, et me parla d'une gigantesque explosion qui se serait jadis produite sur Apu,
de la formation des galaxies, des problèmes de la Terre et des autres planètes,
ainsi que de beaucoup d'autres choses qui m’étaient totalement inconnues et que, même aujourd’hui,
je continue à être incapable d’expliquer rationnellement.
Il
commençait à être tard. Nous avions déjà passé plusieurs heures à cet
endroit. Il était temps pour nous de prendre congé. Au moment où je
disais au revoir aux bergers. L’un des deux extraterrestres s’approcha
de moi, me prit la main en me regardant droit dans les yeux, puis il
prononça à haute voix et avec une sorte de ferveur mystique la phrase :
"Tout pour les autres". Puis l’autre s’approcha à son tour et il fit
exactement la même chose, dans un élan de joie et d’enthousiasme qui
semblait tellement puissant et spontané que j’avais du mal à m’en
expliquer l’origine. Puis j’ai appelé Perez qui discutait encore avec
l’un des bergers, et nous avons commencé à rebrousser chemin vers notre
village.
Évidemment,
sur le chemin du retour, j’ai posé toutes sortes de questions à Perez
sur ce qu’il savait de ces étranges visiteurs et je lui ai demandé
s’il pensait qu’il s’agissait vraiment d’extraterrestres, ce que je ne
pouvais me résoudre à admettre malgré ce qui venait de se passer.
«
Seigneur, me déclara-t-il au bout d’un moment, comment pouvez-vous
être à ce point aveugle ?!!! Comment expliquez-vous qu’autant de
personnes les aient rencontrés et en soient toutes arrivées à la même
conclusion, à savoir qu’il s’agit bel et bien d’extraterrestres. Il est
très fréquent dans cette région d’avoir des contacts avec des êtres
venus d'autres mondes. Certains volent comme ceux que vous venez de
voir. D’autres ont des soucoupes ovoïdes comme celle que vous aviez vue
lors de votre premier contact. Parfois aussi, certains se déplacent à
l’intérieur de machines plus petites semblables à des avions avec des
ailes repliables. Les Indiens les surnomment "los vientos" (les vents),
parce qu’ils viennent et disparaissent comme le vent, sans que l’on
s’en aperçoive. »
Représentations des "vientos" exécutées au siècle passé par des bergers Quechuas
- « Vous dites qu’ils sont plus petits que les avions que nous utilisons communément
pour le transport des passagers ? »
-
« En effet, ils sont bien plus petits et certains ont des ailes très
étranges. Ils les sortent ou les rétractent comme ils veulent, comme
certains oiseaux. D'autres sont comme des papillons. Il y en a même qui
ressemblent à des feuilles de trèfle. Ils sont extraordinairement
rapides, ils apparaissent et disparaissent sans que l'on voit quand ni
que l’on sache comment. Au début, les étrangers ont la même réaction que
vous, ils pensent que ce sont des prototypes de l’armée, mais quand
ils les voient déplier ou replier leurs ailes, et leurs occupants
commencer à voler comme des oiseaux, à soigner les malades et à les
guérir de maladies incurables, ou à faire pleuvoir d'un ciel sans
nuages, alors ils commencent comme moi à penser que ce sont des anges
du Ciel. Et lorsqu’ils se présentent comme des êtres venus d'une
planète lointaine, nommée Apu, ils les croient ! Ce qui est sûr en tout
cas, c'est que ce sont des êtres bons, qui aident chaque fois qu’ils
le peuvent et qui n’ont jamais causé de tort à quiconque. Quant à
expliquer pourquoi ils sont venus sur la Terre, et ce qu’ils sont venus
y chercher, je ne suis pas capable de le faire. »
- « Et vous, Perez, vous les aviez déjà vus auparavant ? »
- « Oui, bien sûr et la dernière fois remonte à moins d’un mois. Mais
les gens d’ici n’aiment pas beaucoup en parler. Ils craignent que les
autorités ne prennent conscience de leur présence et que l'armée ne
cherche à les détruire ou à les faire partir. Et les paysans tiennent
vraiment à ce que cela ne se produise jamais ! »
Nous sommes finalement rentrés chez nous juste avant qu’il ne fasse complètement nuit.
Perturbé par cette expérience, j'ai décidé de me reposer et, pendant quelques semaines, d’oublier mon penchant pour la randonnée et l'exploration des sommets.
- Question : Comment s’est déroulée votre troisième expérience ?
- Victo Novi :
Au fur et à mesure que le temps passait, chaque matin mon désir de
reprendre mon sport préféré me harcelait de plus en plus. J’ai tenu un
mois, puis j'ai décidé de retourner vers les cimes enneigées des Andes.
Je m’étais simplement fixé comme objectif d’éviter les endroits
proches de ceux où j’avais rencontré les extraterrestres auparavant.
Perez
était en voyage, mais un autre collègue de travail, un jeune nommé
Quispe m'a dit qu'il connaissait bien la région et m’a demandé la
permission de m'accompagner. J'ai accepté son offre et nous avons
convenu de partir ensemble pour une grande randonnée le dimanche
suivant.
Le
15 mai de la même année, je suis donc parti avec lui. j'ai tout de
suite remarqué que mon nouveau compagnon marchait sur les rochers et
escaladait les pentes abruptes avec facilité et agilité. J'ai senti
qu’avec lui je pourrais explorer en une journée beaucoup plus de sites
que je ne l'avais fait auparavant avec Perez, et cela me plaisait.
Cependant, au bout de plusieurs heures de marche, je commençais à sentir
une certaine lourdeur dans mes jambes et je lui ai proposé de faire
une petite pose.
Alors
qu’il était assis à côté de moi et que nous étions en train de
contempler au loin la splendeur immaculée des neiges éternelles, il se
retourna brusquement vers moi et tout en me regardant droit dans les
yeux, il me dit : « Nous sommes dans un endroit où l’on rencontre
parfois des personnes étranges qui disent qu’elles viennent d'un monde
lointain. »
-
« Oui. Je sais déjà, Quispe, rétorqué-je, ils disent qu'ils sont des
habitants d'une planète qu'ils appellent Apu, et ils voyagent à travers
l’espace dans d’étranges engins qui peuvent prendre la forme d’avions,
de soucoupes, d’oiseaux, de poires, de cigares et bien d'autres
encore. »
- « Mais comment savez-vous tout cela, Vlado ? Qui vous l’a dit ? » s’étonna-t-il.
- « Personne ne me l'a dit, Quispe, je les ai vus ! »
-
« C’est vrai ? » s'écria-t-il, « Quelle chance vous avez ! » Et il se
leva, l’air vraiment surpris et heureux. Puis il ajouta : « Si chacun
remplaçait le mot méfiance par le mot confiance et le mot guerre par le
mot fraternité, le monde entier pourrait les voir ! »
Nous avons ensuite repris notre marche, et peu de temps après, nous
nous sommes retrouvés en bordure d’un pâturage où il y avait des
vaches, des moutons, des chèvres et aussi quelques chevaux. De l’autre
côté de la prairie se trouvait une cabane de rondins avec un toit en
paille. Il s’en échappait une fumée blanche, et devant, il y avait
plusieurs personnes assises près d’un feu.
« On dirait qu’on nous attend pour déjeuner ! » dis-je à Quispe sur le ton de la plaisanterie.
Deux chiens nous ont alors aperçus et sont venus à notre rencontre en aboyant.
L’un des bergers s’est alors levé pour les faire taire et nous a fait signe de les rejoindre.
Nous les avons salués et Quispe a commencé à discuter avec eux en quechua.
Moi, je suis resté silencieux, me contentant d’observer, car aucun ne comprenait l’espagnol.
Au
bout d’un moment, de la cabane ont surgi une femme et un gamin qui
étaient tous les deux en pleurs. Quizpe demanda à cette dame pourquoi
elle pleurait et elle lui expliqua qu’une semaine auparavant l’un de ses
garçons avait glissé sur un rocher.
Il s’était fracturé le bras droit
et plusieurs côtes et son état semblait peu à peu empirer.
Nous sommes
rentrés dans la hutte pour voir son petit garçon. Il avait environ dix
ans et se trouvait allongé sur un tas de foin dans un état pitoyable.
Il avait les yeux mi-clos, la bouche entrouverte. Sa langue et ses
lèvres étaient démesurément gonflées ; son visage tuméfié avait pris
une couleur bleue violacée. Tout semblait indiquer qu’il était déjà
rongé par une gangrène avancée. J’ai pris le poignet de l’enfant pour sentir son pouls, ce qui a confirmé mes craintes.
Nous
avons alors demandé à sa mère la permission de l’emmener avec nous
jusqu’à la ville de Caraz pour qu’il puisse y être hospitalisé. Elle a
catégoriquement rejeté notre proposition, alléguant que « les dieux
allaient bientôt venir et guérir son enfant. »
Je m’attendais à voir ces
gens entamer une danse ou un rituel pour invoquer les esprits quand,
soudain, un petit engin ailé est descendu du ciel verticalement sans
aucun bruit, avant de s’immobiliser juste à côté du feu, à quelques
centimètres au-dessus du sol.
Tous
ceux qui étaient assis autour du feu se sont alors levés et une femme
jeune et belle est sortie de l’étrange engin et nous a salués en
souriant. Elle portait la même combinaison que celle des deux
extraterrestres que j’avais rencontrés lors de mes deux premiers
contacts. Elle est venue jusqu’à nous sans marcher sur l'herbe, en se
déplaçant à quelques centimètres au-dessus du sol ! J’ai appris, mais
plus tard, qu’elle évitait de piétiner l’herbe et les plantes de manière
à préserver leurs cellules.
Elle est alors entrée dans la cabane ; puis elle a pris le petit garçon
dans ses bras et elle l’a emmené à l’intérieur de son appareil tout en
continuant à glisser au-dessus du sol, malgré le poids de l’enfant
qu’elle portait. Tout le monde autour de moi s’est alors agenouillé.
Moi, j’étais tellement médusé que je suis resté debout jusqu'à ce que
mon compagnon me demande de me mettre à genoux moi aussi.
Au
bout d’un moment, la femme est réapparue, en tenant toujours l’enfant
dans ses bras. Il avait retrouvé des couleurs, son visage n’était plus
gonflé et il semblait en bonne santé. Je me suis approché de lui et
j’ai examiné son bras : il n’y avait plus aucune trace de fracture ! Il
était souriant et ne tarda pas à demander à sa mère quelque chose à
manger.
Pendant
que j’observais l’enfant, qui semblait à présent parfaitement remis et
gai comme un pinson, j’entendis l’étrange "infirmière de l’espace" en
train de plaisanter avec les paysans. Ils conversaient en quechua. Or
non seulement je comprenais parfaitement tout ce qu’ils disaient, mais
j’avais l’impression de les entendre s’exprimer dans ma langue
maternelle !
Je rejoignis alors précipitamment Quispe pour le questionner à ce sujet.
« Vous entendez ce qu'ils disent ? » lui demandai-je.
- « Oui, je les entends. » répondit-il.
- « Et vous comprenez ce qu’ils disent ? »
- « Oui, je comprends très bien. »
- « Mais dans quelle langue parlent-ils ? »
- « Ils parlent dans leur propre langue et aussi dans toutes les autres en même temps.
- « Mais comment est-ce possible, Quispe ? »
- « Je ne sais pas, Vlado. Je sais seulement qu'une fois ils nous ont
dit qu’ils pouvaient influencer par la pensée le mouvement de certains
électrons du cerveau. Ceux qui sont présents accèdent alors à la
compréhension de toutes les langues, simultanément. »
J’en
étais complètement médusé. Amusée par ma stupéfaction, la mystérieuse
étrangère s’approcha de moi en souriant et se présenta sous le nom
d’Ivanka. Puis elle s’adressa à l’ensemble des personnes présentes et
nous demanda de nous relever. « Nous ne sommes pas venus sur la Terre
pour être remerciés, payés ni adorés, nous a-t-elle dit. Nous sommes ici
pour nous consacrer à notre seule et unique mission : tout faire pour
aider les autres. »
Je lui ai alors demandé : « Mais qu’avez-vous fait à ce garçon ?
Elle a répondu : « Je lui ai retiré ses cellules malades, je les ai réharmonisées, puis je les ai réintégrées dans son corps. Toutes ses cellules sont maintenant saines et il est guéri. »
La thérapie génique : une médecine pratiquée depuis des milliers d’années par les Apuniens
- « Mais qui êtes-vous donc, Ivanka, pour être ainsi capable d’accomplir de tels prodiges ? »
- « Je ne suis qu’une Terrienne comme vous et je suis également devenue une Apunienne ;
j’ai en effet vécu sur Apu durant 100 de vos années ;
mais je suis d’abord une citoyenne de l'Univers,
et donc la sœur de tous les êtres qui habitent cet Univers.
La
première mission des Apuniens est de protéger la vie et d'aider tous
les êtres à pouvoir continuer à vivre, quel que soit le lieu où ils se
trouvent.
Nous n’avons ni préférences, ni favoris, et nous n’avantageons jamais certains êtres au détriment d’autres.
Notre
Amour, notre compassion et nos connaissances sont destinés à tous ceux
qui en en besoin et qui sont prêts à ouvrir leur cœur, parce que nous
sommes une partie de tout ce qui existe dans l'Univers et que nous
sommes Un avec lui.
Il n’y a rien de prodigieux à ce que je viens
d’accomplir.
Les miracles n’existent que dans l’esprit de ceux qui vivent coupés de l’Unité.
De
même, la durée de vie des Terriens pourrait être aussi longue que
celle des Apuniens. Il vous suffirait d’accepter de vous organiser
d'une manière positive fraternellement, sans argent, sans guerres et
sans injustice, et de former une seule famille terrestre, au sein de la
Grande Famille Universelle. »
Elle
semblait quelque peu amusée par ma perplexité et ajouta : « Je vais
vous montrer ce que la conscience de l’Unité permet de réaliser... »
Puis, joignant le geste à la parole, elle traça dans l’air un signe
incompréhensible de la main. À l’instant même, sept moutons du troupeau
se retrouvèrent brusquement métamorphosés sous mes yeux en vases
fleuris ! Je crus que nous étions retrouvés confrontés à une séance
d'hypnose collective, comme lors de mon contact précédent.
Elle
semblait lire dans mes pensées et déclara que l’un des problèmes des
Terriens était d’avoir du mal à accepter ce qui dépasse leur
entendement. Elle fit alors un nouveau geste de la main, et cette fois,
les vases se transformèrent en sept colombes ! Des chiens se mirent
immédiatement à courir après les colombes pour essayer de les attraper,
et je pensai : « Pauvres chiens ; ils ont été hypnotisés comme moi. »
Elle fit encore un nouveau signe et les sept moutons réapparurent aussitôt !
Puis, visiblement amusée et satisfaite de l’effet produit sur nous par son petit "tour de prestidigitation"
elle nous invita à l’accompagner à l’intérieur de son engin volant.
Cette fois, elle ne flottait plus au-dessus de l'herbe.
Elle
marchait comme nous, mais je constatai que ses pieds ne laissaient
aucune empreinte sur le sol.
Elle semblait concentrée sur sa marche,
comme si la vie de chaque brin d’herbe dépendait de l’attention qu’elle
mettait à ne pas l’écraser.
Quand nous sommes arrivés à proximité de
l’appareil, j'ai vu qu’il se tenait en suspension dans l'air à environ
70 centimètres au-dessus du sol.
J'ai alors intuitivement compris que
cette absence de contact direct avec la Terre n’avait également d’autre
but que de ne pas risquer d’endommager les petites fleurs des champs
qui commençaient à éclore à cet endroit.
J'ai
alors commencé à observer l’engin. Par la forme de ses ailes, il
ressemblait à un avion, mais sa carlingue était bien plus courte. « Les
ailes sont repliables et il peut dépasser la vitesse d’un million de
kilomètres à la minute. » commenta Ivanka, tout en nous invitant à la
suivre à l’intérieur de l’habitacle.
À
l’intérieur, il y avait un autre occupant auquel Ivanka nous présenta.
Il nous salua d’un geste chaleureux et nous proposa de nous asseoir
face un écran de verre qui semblait incrusté dans l’une des parois de
l’habitacle.
Et bientôt l’écran commença à s’animer.
Les
scènes de ma vie ont commencé à se déployer et j’ai revu tout ce que
j’avais vécu depuis ma naissance, mais dans une dimension étrange, comme
si la nature, les gens, les arbres et les animaux existaient
réellement.
Je pouvais tout voir dans les moindres détails. Il me
semblait que je serais capable de toucher tout ce que je regardais si
j’en avais envie.
J'ai vu ma naissance, mon enfance et ma jeunesse,
puis, dans le détail un grand nombre de scènes intimes de ma vie que
personne ne pouvait avoir filmées et que je pensais être le seul à
connaître.
J’ai
aussi vu d’autres scènes auxquelles je n’avais pas directement
participé mais qui me touchaient profondément. La plupart avaient eu
lieu au cours de la seconde guerre mondiale.
J'ai revu un grand nombre
de mes amis disparus, les lieux et les manières dont ils étaient morts.
J’ai assisté à l’exil de mes parents en Amérique du sud.
Et à un
moment, je me suis vu moi-même au côté de Quispe, des bergers et de
cette femme extraordinaire.
Toutes les pensées négatives que j’avais
eues au sujet de ces êtres ont défilé devant moi, associées à
différentes images, jusqu’au moment où les moutons, les vases et les
colombes s’étaient transformés sous nos yeux.
Puis on m’a montré la naissance et la vie de Jésus et aussi la vie des
Apuniens à l’époque où ils s’étaient installés dans la région du lac
Titicaca.
Je les ai vus introduire dans cette région des embryons
d’animaux originaires de leur planète.
C'est pourquoi il y a une faune
étrange sur le lac, comme ces grenouilles géantes qui ont été récemment
découvertes et étudiées par une équipe de scientifiques français.
Puis
Ivanka m’a lancé un regard éclairé par une immense compassion et elle
m’a dit : « Comme on se sent heureux chaque fois que l’on peut faire du
bien aux autres et aider à soulager leur souffrance ! »
C’est alors
j'ai commencé à réaliser que ces étrangers étaient bien loin de ce que
j’avais supposé qu’ils puissent être.
Si
ces êtres avait été des Terriens et qu’ils aient eu connaissance,
comme eux, de ma méfiance à leur égard et des hypothèses absurdes que
j’avais échafaudées à leur sujet, ils auraient certainement été
offensés par ce flot de négativité dont j’étais en réalité l’unique
responsable.
Or non seulement
cela ne semblait pas les choquer.
Mais au contraire, ma réaction avait
provoqué chez eux un vif amusement, comme si à la place de ma méfiance
je leur avais apporté un bouquet de fleurs.
Selon eux, j’avais simplement essayé de découvrir la vérité les concernant, et cela semblait provoquer leur admiration.
J’en
suis venu à la conclusion qu’aucun Terrien n’aurait réagi de manière
aussi noble, et que cette sublime attitude ne pouvait être que l’apanage
d’êtres extraordinairement évolués, entièrement guidés par le concept
le plus élevé de l’Amour : l’Amour de tout ce qui est et de tout ce qui
vit, l’Amour Universel.
Et pour la première fois j'ai accepté
l’idée que ces visiteurs soient réellement originaires d'une planète
éloignée où il n'y a ni égoïsme, ni peur, ni agressivité, ni mensonge,
et intérieurement,
je leur ai demandé pardon.
Question : Quel est le principal message des Apuniens, Vlado ?
- Victo Novi : Ils
ne connaissent ni la haine ni la guerre, et ils savent convertir la
négativité en une énergie positive. Ce sont des amis de tous les êtres
qui peuplent l'Univers. Ils aiment même les plus cruels et les plus
égoïstes, et si quelqu'un leur veut du mal, ils sont capables de
transformer ses pensées négatives en pensées d’Amour. C’est pourquoi
leur devise est :
« Tout pour les autres. » C’est la plus magnifique de toutes les devises !
- Question : Avez-vous encore des contacts avec eux ?
- Victo Novi :
J'ai des contacts de temps en temps. Et n’importe qui peut en avoir.
Il suffit de s’apaiser intérieurement et de demander leur venue. En
fait nous en croisons tous les jours, car ils sont capables de prendre
n’importe quelle forme et d’apparaître sous les traits de n’importe
quel être. Il peuvent prendre l’apparence d’Européens, de Blancs, de
Noirs, d’Asiatiques et se préoccupent uniquement de revêtir l’aspect
extérieur le mieux adapté à leur mission d’entraide.
Extraits d’une interview de Victo Novi — Présentation et transcription : Olivier de Rouvroy Août 2012
PS : D’extraordinaires révélations d’autres grands contactés actuels ou du siècle passé
sont disponibles dans mon nouveau livre
Ils
ont pour noms George Adamski, Howard Menger, George Hunt Williamson,
Orfeo Angelucci, Dino Kraspedon, Eugenio Siragusa, Pierre Monnet, Billy
Meier, Jean Miguères, José Trigueirinho, Miriam Delicado, Jim Sparks,
Alex Collier, Jean-Paul Appel-Guéry, Lou Baldin et Sheldan Nidle.
La
plupart d’entre eux n’ont pas hésité à sacrifier leur carrière, leur
réputation, le confort douillet de leur vie familiale, acceptant souvent
d’être ridiculisés, traînés dans la boue, menacés, parfois même
torturés, afin que la vérité sur la question des extraterrestres puisse
enfin être dévoilée.
Leurs
témoignages concordent tous et projettent un nouvel éclairage sur la
grande opération que les membres dispersés de notre famille galactique
mettent en ce moment même et conjointement en place afin de se
manifester massivement sur la Terre et de nous aider à y instaurer notre
future civilisation, la civilisation de l’Âge d’Or.
Ce nouveau livre contient de nombreux textes inédits.
Dernière parution (Juin 2012) :
Sources : http://www.erenouvelle.fr/